« Il y a chez Michel Kirch une opacité première, d’allure nocturne, peut-être le vide de l’infini est-il du côté de l’opacité… Peut-être que tout naît de ce grand vide initial, y compris la dimension mystique de l’œuvre, considérable. Surgissent de vibrantes clartés. Des déchirures de lumière. Elles affrontent. Ne semblent pas d’origine. Ces lueurs sont des passerelles, comme s’il s’agissait de traverser l’opacité, et de donner enfin la vie. Un être-spectateur assiste aux éveils du monde… Toujours, ou presque, on voit cet être en attente, cet être seul, immobile ou en mouvement, qui semble insignifiant. Mais qui est tout puissant par cette infinité qui le fascine, qu’au bord de l’effroi il contemple, et qui le dépasse. » Christian Noorbergen
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